Truffes, foies gras, cèpes, girolles et morilles, noix, confits et charcuteries fines de campagne, châtaignes, fraises, liqueurs et eaux de vie… sont quelques uns des plus beaux fleurons d’une cuisine de gourmets.
Sur cette terre du « Bien Vivre », dans un esprit convivial, les recettes paysannes se sont transmises de génération en génération et ont contribué à une réputation gastronomique qui justifie à elle seule l’afflux des visiteurs du monde entier.
Une idée de menu de chez nous…
Tout repas périgourdin se doit de commencer par un tourin blanchi, soupe à l’ail ou à l’oignon, mijotée à la graisse d’oie et aux œufs enrichie d’oseille ou de tomate, le tout servi accompagné de tranches de pain. Fortement poivré, il était servi autrefois -et encore aujourd’hui- aux jeunes mariés ! Puis vient le foie gras ou le pâté de foie et l’omelette aux cèpes ou aux truffes. En plat de résistance, un confit d’oie aux pommes sarladaises s’impose (pommes sarladaises : pommes de terre sautées, à la graisse d’oie, aillées et persillées et accompagnées de cèpes). Une salade à l’huile de noix est ensuite proposée suivie d’un cabécou – petit fromage de chèvre. Et pour le dernier petit creux, un gâteau au noix (meilleur encore nappé de chocolat et servi avec une crème anglaise) ou une coupe de fraises feront l’affaire…